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Archives FIDADOC 2014

admin 10/04/2015 Comments Off on Archives FIDADOC 2014

_____ÉDITOS_____

Tariq Kabbage, Président de la Commune urbaine d’Agadir

Le FIDADOC 2014 sera comme toujours, un temps de multiples rencontres et de découvertes. Autant d’occasions pour aiguiser son esprit critique, pour se poser, pour écouter et pour voir autrement.

Cet esprit, ancré dans l’ADN du festival depuis sa création, est présent à l’occasion de cette 6eme édition, qui s’inscrit dans la durabilité et dans le paysage culturel d’Agadir.

Le FIDADOC n’est pas qu’un festival, il est aussi un lanceur de réflexions. Il éveille les esprits. C’est une résistance aux marchands des temples et des fictions standardisées. C’est un rendez-vous de la parole, de la responsabilité et de l’envie de « faire quelque chose ».

À Agadir, nous nous ne cesserons jamais, d’encourager les réalisateurs et les spectateurs à penser et à créer.

Le FIDADOC a connu des moments difficile, parfois tragique. Sa fondatrice peut être fière du chemin parcouru par l’équipe du festival, et du travail qu’elle mène tout au long de l’année à Agadir.

Bonne chance à la nouvelle présidente du FIDADOC, et merci à ceux qui œuvrent pour sa réussite.

Reda Benjelloun, directeur des magazines d’information et du documentaire à TV2M

Comment va le monde ? Pour le savoir, il faut aller à Agadir. Chaque année, la capitale du Souss reçoit le FIDADOC. Et, pendant une semaine, avec curiosité et passion, l’équipe du FIDADOC nous offre « un regard du réel » sur les joies et les tumultes de notre  planète.

Depuis la première édition, ce Festival ne déroge pas aux exigences de sa fondatrice, feue Nouzha Drissi : offrir des « œuvres », des  documentaires qui témoignent, dénoncent, interpellent et aiguisent la curiosité et l’appétit  du public.

Le mot est lâché : le public.  C’est lui la vedette. Mais pas seulement celui des festivaliers ou des professionnels des salles obscures. Le FIDADOC est un événement populaire. Il va à la rencontre de son public là où il se trouve, dans les écoles, les universités, les quartiers périphériques… Il suffit de voir les yeux émerveillés d’un enfant qui, pour la première fois,  découvre dans son quartier une image animée sur une toile tendue en plein air pour  comprendre le bonheur de sa maman : « pour une fois, la culture vient à nous ! ».

Éveil, éducation, civisme… et aussi un pari fou sur l’avenir. En effet, depuis trois ans, le FIDADOC abrite la Ruche Documentaire. C’est désormais un passage obligé pour les jeunes réalisateurs marocains qui, demain, feront notre miel.

Depuis deux ans, le FIDADOC, rendez-vous annuel,  trouve, chaque semaine, un écho dans la case documentaire de 2M des « Histoires et des Hommes ». Ensemble, ils creusent le sillon d’une  création libre, engagée et ouverte à tous.

Ne dit-on pas que le documentaire est le cinéma du peuple ?

Hind Saïh, présidente du FIDADOC

A l’aube de cette 6ème édition, ma première en tant que présidente, je ne peux m’empêcher de repenser au premier FIDADOC en 2008.

Nezha Drissi, sa fondatrice m’avait invité à y participer, dans le cadre d’ateliers de rencontres entre professionnels venus d’Europe et auteurs marocains. Elle avait eu d’emblée l’ambition de développer des réseaux de formation, de production et de diffusion.

Mais ce qui rend ce souvenir si particulier, c’est mon émotion de spectatrice au milieu du public gadiri découvrant le genre documentaire et les héros ordinaires en prise avec le réel.

Les spectateurs, souvent venus en famille, commentaient, riaient, s’indignaient, partageaient le sort d’un personnage chinois ou polonais… La magie du documentaire opérait ! Ces moments de grâce, c’est Nezha qui en avait été l’artisane, elle en avait eu la foi, le désir, le talent aussi d’être parvenu à les créer.

J’aurais voulu ne jamais avoir à écrire cet édito. Cela aurait voulu dire que cette tache lui incomberait toujours et qu’elle serait parmi nous pour voir son rêve grandir.

Mais il en est autrement.

C’est avec beaucoup de combativité et d’honneur, que l’équipe du FIDADOC, a su perpétuer son engagement et sa passion. On le retrouve d’année en année, dans la qualité de la programmation et des participants. Les événements multiples de diffusion et de réalisation de documentaires, organisés tout au long de l’année et la qualité des partenariats noués, témoignent d’un dynamisme et d’une témérité qui forcent le respect.

Grâce à l’implication de ses partenaires de la première heure, Le FIDADOC a réussi à devenir au Maroc et à l’étranger un lieu identifié, emblématique du partage de l’expérience documentaire qui permet des échanges et une réflexion particulièrement nécessaires.

Je m’inscris donc humblement dans cet héritage. Et en tant que productrice, j’œuvre au renforcement durable du volet professionnel du FIDADOC.

La grande nouveauté de cette édition, est le lancement du projet MENADOC, Premier marché international du documentaire dédié aux programmes de la zone (Moyen Orient, Maghreb, Afrique subsaharienne) et à leur rayonnement international.

Le partenariat avec le Sunny Side of the Doc, marché de renommée internationale avec ses 25 ans d’expérience et sa présence déjà bien établie en Europe, en Asie et en Amérique latine, nous permet d’accéder à de nouveaux réseaux et d’organiser en amont de la formation pour les producteurs marocains. Ce qui leur permettra de produire avec des standards internationaux, d’engager des coproductions et d’exporter leurs programmes à terme.

Un tel projet permet de  structurer les réseaux et de pérenniser les activités liées au documentaire.

Notre ambition est de favoriser l’expression d’une création audiovisuelle au Maroc et de contribuer activement à construire notre patrimoine audiovisuel. Les œuvres produites font partie de notre histoire. Elles témoignent, pour les générations à venir, de notre présent.

Face à ces perspectives passionnantes, gageons que cette nouvelle édition saura se signaler à la fois par l’évidence de sa continuité et par l’audace du renouvellement qu’elle se promet d’inaugurer.

Il se passe des choses à Agadir… Qu’on se le dise ! Et vous en êtes les témoins privilégiés.

Hicham Falah, délégué général du FIDADOC

La nouvelle édition d’un festival est à la fois une feuille blanche et le fruit des enseignements de la précédente. L’an dernier, le FIDADOC avait reçu le producteur Orwa Nyrabia pour une carte blanche dédiée au courage des cinéastes et des citoyens syriens plongés depuis 3 ans dans la tourmente. Une mission dont notre invité d’honneur avait élargi les contours avec une immense générosité, faisant bénéficier de son expertise les apprentis documentaristes réunis à Agadir à l’occasion de notre « Ruche documentaire ».

Voilà comment s’est imposée naturellement l’idée de proposer à deux professionnels éminents de parrainer le FIDADOC, en participant de manière transversale à toutes ses activités culturelles et pédagogiques. C’est avec cet esprit de fraternité qui caractérise la famille du cinéma documentaire que le réalisateur Nicolas Philibert et la programmatrice Rasha Salti ont accepté notre invitation à être les « passeurs » de cette 6ième édition.

L’engagement citoyen sera au cœur d’une programmation qui fera la part belle aux femmes qui se battent pour défendre leurs droits et en gagner de nouveaux. Elle mettra également en valeur cette nouvelle vague de documentaristes du Maghreb et du Machrek qui malgré des moyens modestes explorent de manière personnelle et exigeante, leur société mais aussi la richesse du langage cinématographique.

L’engagement et la transmission nourrissent également notre volonté d’aller chercher le public partout où il est : établissements scolaires, maisons de quartier, maisons de la culture, quartiers périphériques de la commune urbaine d’Agadir, Université Ibn Zohr, cette ville dans la ville qui rassemble des dizaines de milliers d’étudiants venus de la moitié de notre territoire national…

Nos nombreuses projections « hors-salles » seront assurées par de jeunes Marocains formés et accompagnés par nos collègues et amis du Cinéma Numérique Ambulant. Un réseau d’associations adeptes de la diffusion cinématographique « tout-terrain », qui depuis une dizaine d’années, sillonnent l’Afrique subsaharienne et la Tunisie depuis l’an dernier, apportant le cinéma dans des régions rurales souvent isolées. Nous avons l’espoir que cette expérience pionnière lancée à Agadir et dans la région Souss Massa Drâa sera relayée à travers tout le pays par le tissu associatif et culturel de notre pays, grâce au soutien d’institutions comme le Conseil national des droits de l’Homme ou la Fondation CDG.

L’engagement et la transmission, ce sont aussi les dizaines d’étudiants en cinémas qui participent à notre « Ruche documentaire », devenue en trois ans le rendez-vous incontournable des mordus du genre. Une pépinière destinée à identifier et accompagner des talents émergents et à dynamiser une production nationale qui a l’immense privilège de disposer d’un diffuseur comme la chaîne de télévision 2M, partenaire officiel du FIDADOC.

L’engagement et la transmission, c’est ce qui a motivé Hind Saïh à accepter la présidence d’une manifestation qu’elle a vue naître et grandir aux côtés de sa « sœur d’armes », feue Nouzha Drissi. Qu’elle soit ici sincèrement remerciée pour sa passion et son opiniâtreté à promouvoir le FIDADOC et le développement de la production documentaire dans son pays.

L’engagement et la transmission, c’est ce qui meut toute l’équipe du FIDADOC et ses amis, qui œuvrent toute l’année à Agadir, au Maroc et partout dans le Monde pour que chaque nouvelle édition apporte à nos fidèles spectateurs comme aux nouveaux convertis, le goût du cinéma documentaire.

_____LES PARRAINS_____

Nicolas Philibert

Nicolas Philibert est né en 1951.

Après des études de philosophie, il se tourne vers le cinéma et devient assistant réalisateur, notamment auprès de René Allio, Alain Tanner et Claude Goretta.

En 1978, il co-réalise avec Gérard Mordillat son premier long-métrage documentaire, « La voix de son maître », dans lequel une douzaine de patrons de grands groupes industriels parlent du commandement, de la hiérarchie, du pouvoir, esquissant peu à peu l’image d’un monde futur gouverné par la finance…

De 1985 à 1987, Nicolas Philibert tourne divers documentaires de montagne et d’aventure sportive pour la télévision puis il se lance dans la réalisation de long métrages documentaires qui seront tous distribués en salles : « La ville Louvre » (1990) , « Le pays des sourds » (1992), « Un animal, des animaux », « Le pays des sourds » (1992), « Un animal, des animaux » (1995), « La moindre des choses » (1996), dans la clinique psychiatrique de La Borde, ainsi qu’un film-essai, entre documentaire et fiction, avec les élèves de l’école du Théâtre National de Strasbourg : « Qui sait ? » (1998).

En 2001, il réalise « Etre et avoir » sur la vie quotidienne d’une école « à classe unique » dans un village de montagne, au cœur du Massif Central (Prix Louis Delluc 2002).

Avec « Retour en Normandie » (2007), il revient sur les traces du tournage de « Moi, Pierre Rivière, ayant égorgé ma mère, ma sœur et mon frère… » de René Allio, réalisateur grâce auquel il fit ses premiers pas dans le cinéma.

Tourné en 2009 à la ménagerie du Jardin des Plantes de Paris, « Nénette » est consacré à la doyenne des lieux : une orang-outan femelle en captivité depuis 37 ans.

Son dernier long-métrage, « La maison de la radio » est une plongée inédite dans l’univers feutré du bâtiment en bord de Seine qui abrite les stations composant le service public de Radio France.

Rasha Salti

Rasha Salti est née en 1969. Elle vit et travaille entre Beyrouth, Paris et Toronto.

Programmatrice et écrivain, elle est l’une des forces vives qui accompagnent le cinéma et les arts plastiques du monde arabe.

Productrice de textes et curatrice, elle a été, de 2004 à 2010, programmatrice et directrice artistique d’ArteEast à New Yor où elle a dirigé deux éditions de la Biennale CinemaEast Film Festival (2005 et 2007). Elle a également organisé, avec Richard Peña, une rétrospective du cinéma syrien qui a tourné dans le monde entier, ainsi que l’exposition Mapping Subjectivity : Experimentation in Arab Cinema from the 1960s until Now, en association avec Jytte Jensen (2010-2012) dont l’une des étapes a été le MoMA de New York.

Elle collabore avec des institutions et des festivals comme le Jeu de Paume à Paris, SANFIC à Santiago du Chili et la Tate Modern. Elle a aussi été la programmatrice du festival de films d’Abu Dhabi, en 2009 et 2010.

Depuis 2011, elle est membre l’équipe de programmation du Toronto International Film Festival (TIFF)

Parmi les événements que Rasha Salti a organisés : l’hommage à Edward Said intitulé For a Critical Culture (Beyrouth, 1997) ; 50, Nakba and Resistance (Beyrouth 1998), une saison culturelle de trois mois en commémoration du 50e anniversaire de la tragédie de la Palestine.

Elle a co-organisé Waiting for the Barbarians : A Tribute to Edward Said (Istanbul, 2007) en collaboration avec Metis Press and Bogazici University. En 2011, elle a été l’une des co-curators of the 10th édition de la Biennale de Sharjah avec Suzanne Cotter et Haig Aivazian.

Elle écrit, en anglais et arabe, sur les pratiques artistiques dans le monde arabe, et plus généralement sur des thèmes sociaux et politiques. Ses textes ont été publiés dans The Jerusalem Quarterly Report (Palestine), Naqd (Algeria), MERIP (USA), The London Review of Books (UK), Afterall (US) and Third Text (UK), entre autres.

En 2006, elle a dirigé la publication de Insights into Syrian Cinema: Essays and Conversations with Filmmakers (ArteEast and Rattapallax Press) et en 2009, elle a collaboré avec le photographe Ziad Antar sur un livre et une expo : Beirut Bereft, The Architecture of the Forsaken and Map of the Derelict.

_____JURY & PRIX_____

Composé de professionnels reconnus pour leur engagement artistique et citoyen :

  • Habiba DJAHNINE, réalisatrice, écrivain (Algérie)
  • Mohcine BESRI, réalisateur (Maroc)
  • Berni GOLDBLAT, réalisateur, producteur (Suisse, Burkina Faso)
  • Norma GUEVARA, programmatrice, metteur en scène (Cuba, France)

Le jury de l’édition 2014 du FIDADOC, décernera les prix de la Compétition internationale   :

  • Le Grand prix «Nouzha Drissi» (Dotation 30.000 DH)
  • Le prix du Jury (Dotation 15.000 DH)
  • Le prix des Droits humains (Dotation 10.000 DH)

Notre partenaire officiel 2M attribuera à un des films primés son « Coup de cœur » (Dotation d’une valeur de 55.000 DH)

Un jury de cinéphiles et d’étudiant gadiris décernera :

  • Le Prix du public «Nourredine Kachti» (dotation par l’Institut Français d’Agadir, valeur 10.000 DH)

 

_____SÉLECTION OFFICIELLE_____

FILM D’OUVERTURE

  • BASTARDS de Deborah Perkin (Grande-Bretagne – 2014)

COMPÉTITION INTERNATIONALE

La compétition internationale est composée de 12 films du monde entier, d’une durée supérieure à 52 minutes, tous inédits au Maroc :

  • ALLER DE L’AVANT de Soufiane Adel (France, Algérie – 2014)
  • ARIEL de Laura Bari (Canada)
  • CHANTIER A de Tarek Sami, Lucie Dèche, Karim Loualiche (Algérie, France – 2013)
  • COACH ZORAN AND HIS AFRICAN TIGERS de Sam Benstead (Grande-Bretagne, Sud-Soudan – 2013)
  • EL GORT de Hamza Ouni (Tunisie, EAU – 2013)
  • EXAMEN D’ÉTAT de Dieudo Hamadi (République Démocratique du Congo, France, Sénégal – 2014)
  • FROM GULF TO GULF TO GULF de Shaina Anand, Ash  Sukumaran (Inde, EAU – 2013)
  • GUARDIANS OF TIME LOST de Diala Kashmar (Liban, EAU – 2013)
  • DES MURS ET DES HOMMES de Dalila Ennadre (Maroc, France – 2013)
  • NE ME QUITTE PAS de Niels van Koevorden et Sabine Lubbe Bakker (Pays-Bas, Belgique – 2013)
  • AL OUED AL OUED de Abdennour Zahzah (Algérie – 2013)
  • SCHEHERAZADE DIARY de Zeina Daccache (Liban – 2013)

FILM DE CLÔTURE

  • SI JE TE GARDE DANS MES CHEVEUX de Jacqueline Caux (France – 2012)

CARTE BLANCHE À NICOLAS PHILIBERT

Le réalisateur français, reconnu mondialement, viendra présenter au public gadiri, quatre de ses longs-métrages autour du langage :

  • ÊTRE ET AVOIR de Nicolas Philibert (France, 2002)
  • LA MAISON DE LA RADIO de Nicolas Philibert (France, Japon – 2013)
  • NÉNETTE de Nicolas Philibert (France – 2010)
  • LE PAYS DES SOURDS de Nicolas Philibert (France – 1998)

Cette rétrospective se conclura par une Master class à l’Institut français d’Agadir,  le mercredi 30 mars à 10 heures.

CARTE BLANCHE À RASHA SALTI

 La programmatrice du Festival International de Toronto a sélectionné 4 films représentatifs d’une veine documentaire intimiste et poétique particulièrement féconde chez les cinéastes arabes contemporains.

  • BIRDS OF SEPTEMBER de Sarah Francis (Liban, Qatar – 2013)
  • MY LOVE AWAITS ME BY THE SEA de Mais Darwazah (Palestine, Allemagne, Qatar, Jordanie – 2013)
  • WHAT’S YOUR STORY de Jamal Khalaileh et et Pauline Carbonnier (Palestine, France, Qatar – 2012)
  • MY FATHER IS STILL A COMMUNIST de Ahmed Ghossein (Palestine, Liban, EAU – 2011)

CARTE BLANCHE AU FESTIVAL DU NOUVEAU CINEMA (MONTRÉAL)

Un représentant de l’équipe de la manifestation, nouveau partenaire du FIDADOC, viendra présenter un film découvert à l’occasion de l’édition 2013 du FNC :

  • CHEZ LISE de Jeanne Pope et James Galwey (Canada – 2013)

PANORAMA MAGHREB, MACHREK

En complémentarité avec la carte blanche à Rasha Salti composée d’œuvres issues du Proche-Orient, nous avons sélectionné 7 films maghrébins dans notre panorama.

2 longs-métrages tunisiens inédits au Maroc, qui s’interrogent sur l’histoire récente de leur pays.

  • CONTROLLING AND PUNISHMENT de Ridha Tlili et Ayten Mutlu Saray (Tunisie, Suisse – 2014)
  • WLED AMMAR (Génération maudite) de Nasredine Ben Maati (Tunisie – 2013)

5 courts métrages marocains et algériens produits majoritairement dans le cadre d’ateliers ou d’écoles de cinéma :

  • EL-HAVS AMOKRANE (La grande prison) de Razik Benallal (Algérie / Bejaïadoc – 2013)
  • KOUCHET EL-DJIR de Amine Boukraa (Algérie / Bejaïadoc – 2013)
  • MÉMOIRES ANACHRONIQUES OU «LE COUSCOUS DU VENDREDI MIDI» de Asmae el Moudir (Maroc, France / FEMIS – 2013)
  • LES RESTES D’UNE FEMME de Amine Neki (Maroc / ECAT – 2013)
  • AU RYTHME DE LA NATURE Anouar Aït Raho (Maroc / ESAVM – 2013)

PROGRAMMES THÉMATIQUES

Deux films qui enrichissent la thématique «Condition féminine » :

  • CASABLANCA CALLING de Rosa Rogers (Grande-Bretagne – 2014)
  • BROKEN RECORD de Parine Jaddo (Iraq, Liban – 2013)

Un programme de deux films élaboré en partenariat avec le Master « Migrations et développement durable » de l’Université Ibn Zohr :

  • KELLY de Stéphanie Régnier (France, Maroc – 2013)
  • LA LIGNE DE COULEURS de Laurence Petit-Jouvet (France – 2014)

 CINÉ-CONCERT

La veille de l’ouverture officielle, le lundi 28 avril, nous organiserons au quartier Talborjt, cœur historique de la ville, un ciné-concert conçu par le réalisateur Gaétan Karim Harem : « La mémoire d’Agadir ».

Devant le cinéma Sahara sera projeté un montage d’archives inédites tournées avant et après le tremblement de terre de 1960, accompagné par une création musicale de jeunes musiciens de la ville menés par Mehdi Nassouli,

SÉANCES SCOLAIRES

Depuis sa création, le FIDADOC propose des projections matinales de films destinés au public scolaire (8 à 14 ans). Le programme de cette année sera composé de deux longs métrages :

  • NÉNETTE de Nicolas Philibert (France – 2010)
  • DÉSÉQUILIBRE de Julien Gaertner (France, Maroc – 2013)

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